De tous ces toits de Marseille, après ma conférence et les fortes pluies du samedi 22 mars, l’eau de pluie a été évacuée dans la mer. Par Michal Kravcik.
Marseille et toutes les villes du monde, si elles ne veulent pas brûler vives, devront trouver une solution pour survivre à la crise climatique. Dans ma conférence aux représentants de la ville, j’ai essayé de les convaincre qu’ils devaient trouver une solution pour changer la gestion de l’eau de pluie, qui peut garder l’eau de pluie de ces toits et de toutes les zones pavées de la ville dans la ville au lieu de l’expulser dans la mer, améliorer son évaporation et par conséquent créer de la pluie même lorsqu’il ne pleut pas.
S’ils trouvent le courage de ce changement, ils montreront au monde la voie à suivre pour résoudre le développement spatial des villes. La ville de Marseille a cherché ce courage en 2013, lorsque Marseille était la capitale européenne de la culture avec Košice, et les Marseillais étaient fascinés par le fait que Košice dispose du protocole sur l’eau de Košice (https://lnkd.in/eS68bZgB) et qu’ils veulent développer des PARCS BLEUS dans la ville, comme une solution systémique pour une nouvelle culture de l’eau dans l’aménagement du territoire à l’ère du changement climatique.
La nouvelle direction politique de Košice a finalement utilisé l’argent alloué aux parcs bleus, obtenu sur des fonds de l’UE, pour bétonner les parcs et les clôturer. Je suis très heureux que les Marseillais n’abandonnent pas et continuent à chercher. Il était évident, d’après la discussion, qu’ils voulaient résoudre le problème, et je croise les doigts pour eux et je suis heureux de les aider.
L’agenda de la nouvelle culture de l’eau a déjà dépassé les frontières de la Slovaquie. Merci également à la maison d’édition YVESMICHEL (www.yvesmichel.org), qui a publié le Nouveau Paradigme de l’Eau (https://lnkd.in/eYh2z5_h) en français. Paradigm a été traduit par ElHabib Ben Amara, qui l’a également traduit en arabe.

La veille, le 21 mars, Michal Kravcik était au salon Primevère à Lyon

Christine Bisch, secrétaire de l’association Sauvegarde de la vallée vivante du Garon
