Thierry Burlot, président du comité de bassin Loire-Bretagne, s’inquiète de la volonté de l’État de passer en force dans la gestion de l’eau. Et ce, au détriment de la concertation locale et des préoccupations environnementales. Par Vincent Lucchese.
Nous n’oublions cependant pas que les agences de l’eau n’ont jamais tenu leurs promesses, ni en terme de pollueur-payeur, ni en terme de démocratie participative. Mais cela peut être encore pire, sans doute…
Alors que l’eau se raréfie partout dans le monde en raison des changements climatiques, Oxfam dénonce l’accaparement de l’eau par les multinationales dans un nouveau rapport intitulé « La soif du profit ». Les constats dressés par l’ONG sont accablants, mais les recommandations semblent faibles au vu de la gravité de la situation. Par exemple, faut-il réguler les minéraliers, vraiment ? Ou plutôt faire disparaître l’embouteillage? On peut regretter aussi que tout le volet de l’accaparement des services publics de production et de distribution d’eau par des multinationales soit oublié. A remarquer l’apparition d’une nouvelle et intéressante notion : l’hydro-colonialisme! Teaser, présentation et lien vers le rapport.
Antoine Chao (C’est bientôt demain) était à Dieuze en Moselle avec l’association EAU SECOURS SAULNOIS, la coordination Stop embouteillage et la Coordination EAU Île-de-France pour la journée mondiale de l’eau, il y était question de la privatisation de nos ressources aquifères accaparées par les multinationales de l’eau.
Depuis tant d’années que nous parlons du bocage sahélien, nous en partageons les activités et les résultats du terrain sans prendre assez le temps d’en exposer les fondements ; c’est ce que nous vous proposons aujourd’hui, en espérant que cela vous éclaire ! Par l’association TERRE VERTE.
France eau publique (FEP) appelle l’Etat à mettre en œuvre le principe « responsable-payeur » et à créer une redevance spécifique pour financer les atteintes à la biodiversité. Elle souhaite aussi conduire des politiques tarifaires innovantes. Des demandes qui, pour l’instant, sont restées lettre morte.
L’association « Sauvegarde de la Vallée Vivante du Garon » demande aux pouvoirs publics de transformer un projet de trois barrages-écrêteurs de crue en un plan de gestion globale du bassin versant du Garon, en collaboration directe avec MichalKravčík, hydrologue slovaque, prix Goldmann de l’environnement (Lire ici l’article Vent de Slovaquie). Une démarche inédite en France.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…