Sous couvert d’aménagement du territoire et de gestion du risque inondation, l’État et les grands aménageurs s’acharnent à bétonner, artificialiser et transformer en infrastructures productivistes ce qui reste d’écosystèmes vivants en Île-de-France. Dans la plaine alluviale de la Bassée, un territoire où la Seine et l’Yonne s’entrelacent, ils veulent creuser, barrer, endiguer et canaliser.