Marrakech, la ville qui héberge la COP 22 en 2016, fut établie dans la plaine désertique du Haouz en 1062. L’eau souterraine nécessaire à sa fondation fut initialement “minée” grâce à des aqueducs souterrains… Mais des 567 khettaras creusées pendant presque un millénaire, il n’en reste qu’une seule en eau.
Pour la COP 22, nous soutenons ce projet d’exposition destiné à valoriser les khettaras, un enjeu concret d’adaptation et de lutte contre le changement climatique.
Cela fait suite à une rencontre à Errachidia organisée par l’ACME Maroc, en partenariat avec la Coordination Eau Île-de-France et la Fondation France Libertés. Voir ICI
Lettre ouverte à Patrick Ollier, président de la métropole du Grand Paris; Christian Favier, président du Département du Val-de-Marne; Anne Hidalgo, maire de Paris et à la présidente et présidents des établissements publics territoriaux de la Métropole du Grand Paris pour que « l’héritage culturel, citoyen, métropolitain et humain» du festival de l’Oh! ne disparaisse pas.
Françoise Gigleux qui anime l’association « l’eau est le pont », a recueilli le témoignage d’une famille victime d’humiliations en cascades avec une coupure d’eau. Ce récit est publié sur le site « raconter la vie« qui vise à produire « le roman vrai de la société d’aujourd’hui » à l’initiative du sociologue Pierre Rosanvallon.
L’émission « nouvelle vagues » sur France culture a consacré une semaine à l’action. Son quatrième volet s’est penché sur les actions citoyennes à travers deux projets artistiques qui ont décidé de les mettre en valeur. D’en parler. Décider de changer à sa propre échelle pour peut-être créer un changement à grande échelle. François Guieu, le réalisateur de « Vague citoyenne pour l’eau bien commun » était l’invité de cette émission. Écoutez l’émission en lien ci-dessous.
Pollution des sols et des nappes oblige, on se méfie parfois de l’eau du robinet, qui accompagne pourtant notre vie quotidienne. D’où viennent les eaux parisiennes ? De différentes zones de captage, comme dans la vallée de la Vanne, à 120 kilomètres de Paris. Les eaux y sont captées dans le sol, mais c’est bien en surface que les choses sont en train de bouger : de plus en plus d’agriculteurs, incités par différents programmes publics, se convertissent au bio pour contribuer à la qualité des eaux ensuite acheminées vers Paris. Le phénomène est-il suffisant pour éliminer toutes formes de pollutions aux produits chimiques ? Basta ! a enfilé la frontale, pour une plongée en eaux pas si troubles.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…