Colloque le 10 novembre à l’Université du Havre. L’émergence des nouveaux droits sociaux, droits aux services publics essentiels comme le droit à l’eau et au logement et la question de leur mise en œuvre dans un contexte de précarisation croissante des populations vulnérables constituent l’un des chantiers contemporains de recherche en sciences humaines et sociales où le besoin de connaissance sur le plan théorique et pratique reste important pour la conception et la mise en œuvre des politiques publiques afférentes à la transition énergétique. L’objectif du colloque est de réunir un panel d’experts afin d’échanger sur les convergences et divergences dans la gestion de ces nouveaux droits, sur la gestion publique de l’eau, bien commun de l’humanité, dans un contexte de nécessaire transition énergétique.
Selon une enquête d’opinion réalisée sur un panel représentatif, 51% des personnes interrogées souhaitent voir financer la tarification sociale de l’eau sur les profits des multinationales, mais 24% ne veulent pas en entendre parler du tout.
Depuis quelques semaines, Veolia nous envoie des courriers d’avocats visant à faire retirer les publications qui les concernent de notre site internet sous prétexte de diffamation.
Pendant ce temps, les pratiques illégales continuent sans aucune gêne de leur part.
Nous préférerions que Veolia mette de l’énergie à respecter la loi plutôt qu’à faire travailler ses avocats pour tenter de nous empêcher de faire connaitre la vérité.
Heureusement, les médias relaient nos actions et vous trouverez ci-dessous la revue de presse des derniers éclairages suite aux avenants intégrant la possibilité de faire des réductions de débits.
Un nouveau procès rendra son verdict fin décembre, nous ne manquerons pas une fois de plus d’éclairer Veolia dans toute sa vérité.
Françoise Gigleux qui anime l’association « l’eau est le pont », a recueilli le témoignage d’une famille victime d’humiliations en cascades avec une coupure d’eau. Ce récit est publié sur le site « raconter la vie« qui vise à produire « le roman vrai de la société d’aujourd’hui » à l’initiative du sociologue Pierre Rosanvallon.
Henri Smets, membre de l’Académie de l’eau, évoque la quantité minimale d’eau qui devrait être fournie aux personnes démunies. L’auteur propose que dans le cas des personnes titulaires du RSA Socle, chaque membre d’un couple bénéficie de 75 litres d‘eau potable par jour.
Suite à l’installation d’un nouveau compteur à télé-relève, M. Fontaine, résidant à Issy-les-Moulineaux, a été victime d’une « erreur d’affectation », reconnue par Veolia après la publication sur notre blog d’un courrier à M. Santini, président du Syndicat des eaux d’Île-de-France (SEDIF). La surfacturation occasionnée a été remboursée à l’usager. L’histoire aurait pu s’arrêter là: lire ici. Mais non, elle vient de connaître un épilogue cocasse, M Santini, par ailleurs Maire d’Issy-les-Moulineaux, proposant un dédommagement à son administré!
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…