« Les échouages d’algues vertes ne sont pas pour l’instant en voie d’être réduits de manière durable » reconnaissent la préfecture et la région qui préparent un nouveau plan de lutte pour la période 2017-2021. Fera-t-il mieux que le précédent? Un article d’actu-environnement.
Pollution des sols et des nappes oblige, on se méfie parfois de l’eau du robinet, qui accompagne pourtant notre vie quotidienne. D’où viennent les eaux parisiennes ? De différentes zones de captage, comme dans la vallée de la Vanne, à 120 kilomètres de Paris. Les eaux y sont captées dans le sol, mais c’est bien en surface que les choses sont en train de bouger : de plus en plus d’agriculteurs, incités par différents programmes publics, se convertissent au bio pour contribuer à la qualité des eaux ensuite acheminées vers Paris. Le phénomène est-il suffisant pour éliminer toutes formes de pollutions aux produits chimiques ? Basta ! a enfilé la frontale, pour une plongée en eaux pas si troubles.
Première pour l’exposition « Écolo, c’est économe » sur la péniche « petit bain » à Paris, le 6 juillet. Avec des ateliers pour apprendre à fabriquer soi-même ses produits cosmétiques et ménagers. Et une initiation à la peinture subaquatique avec l’artiste peintre et plongeuse, Malvina.
Le samedi 2 juillet de 9h30 à 13h, un débat citoyen sur la pollution de la Marne aura lieu salle Pierre Duport, parc du souvenir à Chelles (77) au niveau du stade d’athlétisme, derrière la mairie, face à la gare RER. Cette demi-journée, organisée en partenariat avec Une Seule Planète et l’ADENCA, a pour but de constituer un groupe de travail et d’action, en construisant un message collectif et en expérimentant un mode de délibération collective alternatif. Ses principes sont la liberté de parole, l’expertise collective et la valorisation des opinions minoritaires. Les outils de démocratie directe sont au cœur de la démarche.
La crue qui a touché l’Île-de-France, a provoqué la mort de quatre personnes, en a blessé 24 et laisse un lourd bilan économique, estimé à un milliard d’euros. Cela amène à s’interroger sur ses causes (le lien avec le changement climatique et avec les pratiques agricoles) et ses conséquences, en matière de pollution.
Les habitants de Guayaquil, une des plus grandes villes d’Équateur, font face à une crise environnementale et sanitaire majeure. En effet, Interagua, une filiale de Veolia, n’a pas respecté ses engagements relatifs à la construction d’un système d’assainissement. Elle rejette ainsi massivement les eaux usées non traitées. Les habitants de Guayaquil savent que Veolia ne bénéficie pas d’une bonne réputation à travers le monde et font appel à notre aide.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…