ÎLE-SAINT-DENIS: LES RÉPONSES DES CANDIDAT-ES

ENSEMBLE DANS UNE ÎLE VIVANTE, ÉCOLOGIQUE ET SOLIDAIRE : MOHAMED GNABALY

Répond oui à toutes les questions.

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Depuis maintenant 20 ans, nous défendons avec force la mise en place d’une régie publique de l’eau sur notre territoire.

Trois principes ont guidé notre réflexion : accessibilité, qualité et écologie.

Accessibilité : l’eau est un bien commun dont la gestion et la production ne peut être déléguée à une multinationale comme Veolia dont le premier objectif reste intrinsèquement la rentabilité. Afin d’assurer ses dividendes, le prix fixé n’est logiquement pas juste. Soit le prix est surévalué soit l’entretien des réseaux et infrastructures n’est pas assuré, et donc la qualité de l’eau défaillante. La régie quant à elle fixe un prix juste pour les usagers, elle s’appuie sur le principe fondateur de « L’eau paye l’eau ». Le coût de l’eau à Paris qui est passé en régie publique se situe aujourd’hui à 3,43 euros/m³, alors qu’en banlieue parisienne, où la production et la distribution d’eau est gérée par le SEDIF (Syndicat des Eaux d’Île-de-France), il dépasse fréquemment les 5 euros/m³.

Qualité : la régie permet d’assurer la meilleure qualité possible car les élus gèrent directement le service de l’eau avec pour premier objectif de servir l’intérêt général.

Ecologie : La production de l’eau, sa distribution et son utilisation sont de véritables enjeux écologiques. Passer en régie permet de s’assurer que l’eau est gérée et produite de la façon la plus écologique possible. La régie permet une meilleure prise en compte des enjeux écologiques en suivant une logique du long terme plutôt qu’une logique du profit.

Suite à une faille juridique de la loi Notr, 6 communes de Plaine Commune ont décidé de ne pas réadhérer au SEDIF (syndicat qui délègue la gestion de l’eau à VEOLIA) et d’étudier la faisabilité d’un passage en régie. Les études faites par Plaine Commune restent à affiner : le prix pour les usagers de ce passage en régie dépendra notamment de son périmètre et donc des nouveaux élu.e.s en responsabilité sur le territoire qui feront le choix de la régie ou non. Nous défendons évidemment la mise en place d’une régie publique de l’eau.

Nous porterons, comme à notre habitude, ce débat auprès de la population et du conseil municipal nouvellement élu.

L’ÎLE SAINT DENIS DEBOUT : ISABELLE MOUREREAU

Répond oui à toutes les questions.

Ajoute les commentaires suivants:

La partie 1 relève surtout d’orientations et de choix politiques, à mettre en œuvre « facilement », à moyen terme tout est à refaire.

La partie 3 relève également du Politique, mais aussi du suivi et de l’engagement des populations, plus difficile, cela demande du long terme.

UNÎLE: MOHAMED-JAMIL ABID

Répond oui à toutes les questions.

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