Ivry, mardi 27 mars. Suite à la présentation le matin même de l’étude de Collectivités conseil au comité de pilotage eau du territoire GrandOrly-Seine-Bièvre, un compte-rendu à chaud a été effectué par Jacques Perreux, président du groupe écologistes et citoyens, en présence de Christian Métairie, maire d’Arcueil, de Fatah Aggoune, président du groupe Front de gauche, d’André Deluchat, président du groupe La France Insoumise et de Jean-François Banbuck, premier adjoint du Kremlin-Bicêtre … et de nombreux citoyens! Voir aussi l’article de 94citoyens.com
Des collectifs, militants et élus de Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Essonne ont saisi la justice. Ils dénoncent « une rupture d’égalité »… face à l’eau. Une cinquantaine d’élus, militants, collectifs et simples administrés ont saisi le tribunal administratif de Paris. Ils espèrent faire annuler l’adhésion de douze communes au Syndicat des eaux d’Ile-de-France (Sedif). Dans le Parisien du 3 septembre
Après la non-adhésion au SEDIF des trois territoires Est Ensemble, Plaine Commune et Grand-Orly-Seine-Bièvre, un pas important a été franchi vers la gestion publique. Une nouvelle pétition lancée par des citoyen.nes, des élu.es, des collectifs et des associations, place l’exigence démocratique au cœur de la seconde phase qui s’ouvre.
De nombreux médias ont rendu compte de la décision de non-adhésion au SEDIF, prise par trois établissements publics territoriaux le 19 décembre 2017. La veille, la Coordination Eau Île-de-France avait organisé une conférence de presse, place de la République à Paris, avec une vingtaine d’élus appartenant aux trois établissements publics territoriaux (EPT), Plaine Commune, Est Ensemble et Grand Orly Seine Bièvre ainsi que des représentants des collectifs locaux pour l’eau publique. Revue de presse et compte-rendu.
Mardi 19 décembre les conseils de territoires des 3 EPT Plaine-Commune, Est-Ensemble, Grand-Orly-Seine-Bièvre se réunissent avec à l’ordre du jour la réadhésion ou non au SEDIF. Sur les 36 villes, 12 villes ont décidé de réadhérer, tandis que 24 ont fait le choix inverse, pour explorer pendant 2 ans la possibilité de gérer l’eau, non comme une marchandise, mais comme un bien commun. On peut noter que dans ces 24 villes, il y a eu débat citoyen et délibération au conseil municipal et que dans les autres, la décision a été prise en tout petit comité. Comme disent les militants italiens de la gestion publique : « ça s‘écrit eau et ça se dit démocratie ». Par Jacques Perreux, président du groupe écologiste et citoyen au conseil territorial du GrandOrly-Seine-Bièvre.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…