De récentes recherches suggèrent que l’habitude de boire de l’eau provenant de bouteilles en plastique pourrait contribuer à un problème de santé préoccupant : l’hypertension artérielle. C’est une équipe du département de médecine de l’université privée du Danube, en Autriche, qui est à l’origine de cette recherche fascinante. Par Sanjana Gajbhiye, rédacteur de Earth.com
Comment Thames Water est-elle passée du statut de chouchou des fondamentalistes du marché à celui de catastrophe financière qui a coûté un milliard de dollars aux retraités canadiens de l’Ontario?John Cartwright, président du Conseil des Canadiens et Maude Barlow, ancienne présidente du Conseil et ancienne conseillère principale des Nations Unies sur l’eau, tirent les leçons d’une catastrophe pourtant prévisible, dans le Toronto Star.
Du glyphosate, un herbicide toxique, est présent dans les rivières européennes. En cause : l’agriculture… et nos lessives. C’est l’hypothèse, sérieuse, de chercheurs allemands. Par Vincent Lucchese.
Le 16 juillet au village de l’eau à Melle, lors d’une table ronde consacrée aux politiques publiques et luttes sur l’eau dans le bassin méditerranéen, la situation de l’oasis de Figuig (Maroc) en lutte contre la privatisation de l’eau, a été présentée par Majda HAMMOU, originaire de l’oasis – première partie à lire ci-dessous. Mehdi LAHLOU, président d’honneur de l’Association pour le contrat mondial de l’eau au Maroc, membre de la Fédération mondiale des travailleurs scientifiques en charge des partenariats ONG-UNESCO, empêché de venir par une panne informatique mondiale, a envoyé un message (à écouter ci-dessous) qui replace la lutte de Figuig dans le contexte plus large de la privatisation de l’eau rurale au Maroc et dans d’autres pays africains.
Bien que les eaux usées soient désormais principalement traitées dans les stations d’épuration, ces systèmes ne sont souvent pas conçus pour éliminer efficacement les pathogènes fécaux. Par Paul Minier, Docteur en sciences et techniques de l’environnement, École des Ponts ParisTech (ENPC); Bruno Tassin, Directeur de recherche, sciences de l’environnement, École des Ponts ParisTech (ENPC) et Fabien Esculier, Chercheur, coordonnateur du programme de recherche-action OCAPI au LEESU, École des Ponts ParisTech (ENPC). Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons.
Exemples prototypiques de solution basée sur la nature, les systèmes traditionnels de rétention d’eau que sont les johads ne datent pas d’hier, au contraire. Mis en œuvre en Inde depuis 1500 avant J.-C., les johads ont longtemps permis de maintenir le cycle de l’eau dans certaines régions arides du pays. Un fonctionnement qui a fait ses preuves, mais qui a été délaissé par l’empire britannique lors de la colonisation du pays. Par Cécile Massin dans La Relève et La Peste.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…