Dimanche dernier 11 juin a eu lieu une réunion de co-construction d’Alternatiba Paris, le village des alternatives, qui s’attaque à sa façon aux grands problèmes actuels de notre société et de notre monde. Les urgences climatiques, sociales, financières, écologiques, politiques sont indéniables mais nous refusons d’être fatalistes : des solutions existent et nous voulons les montrer!
A l’échelle locale ou globale, il existe une multitude de manières d’agir, pour changer un peu, beaucoup ou considérablement la direction prise aujourd’hui. Le Village des Alternatives a pour vocation de présenter ces alternatives avec sérieux, bonne humeur et enthousiasme.
Daniel Hofnung, co-président de la Coordination Eau IDF et Cécile Fossaert, volontaire en service civique ont participé à cette réunion de lancement. Compte-rendu.
S’éloigner des énergies fossiles est la solution communément admise pour lutter contre le changement climatique. Or, expliquent les auteurs de cette tribune, il existe d’autres facteurs climatiques que le volume de dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Ainsi, le rôle de l’eau est essentiel — à travers les végétaux, notamment.
Judith D. Schwartz est journaliste. Elle est l’auteure deWater in Plain Sight. Hope for a Thirsty World(non traduit en français). Cette tribune publiée par Reporterre est une adaptation de son article paru dans le quotidien britanniqueThe Guardian, le 3 avril. La traduction et l’adaptation ont été assurées par Daniel Hofnung, de la Coordination eau Île-de-France.
30 « cobayes » ont confié leurs urines à Générations Futures afin d’y rechercher le fameux glyphosate, molécule active déclarée des herbicides de type RoundUp ®. Résultats ? 100% des échantillons contiennent des résidus de cet herbicide classé cancérigène probable par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC).
Est-ce un cours d’eau ou un fossé ? La question n’a rien d’anodin : épandage de pesticides et travaux d’aménagement sont interdits à proximité du premier, mais autorisés autour du second. Le déclassement possible de nombre de cours d’eau menace la qualité de notre environnement.
Alors que l’État cartographie les cours d’eau du pays, la FNSEA, le syndicat agricole majoritaire, a mobilisé ses troupes pour en faire déclasser le maximum. Enjeu : échapper aux règles sur la lutte contre la pollution. 2e volet de l’enquête de Lorène Lavocat et Fabrice Nicolino (Reporterre).
A la suite du témoignage d’un promeneur sur les rejets de boues dans la Marne par l’usine des eaux de Neuilly-sur-Marne (lire ICI), la Coordination eau Île-de-France avait alerté par un courrier M. André Santini, président du SEDIF. Lire ci-dessous sa réponse ainsi que nos commentaires.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…