La couverture végétale en zone urbaine a un effet significatif sur le climat local. Les arbres se comportent comme un système de climatisation parfait piloté par l’énergie solaire et utilisant de l’eau. C’est ce que montre ce résumé scientifique illustré de thermographies infra-rouge de villes avec des zones plantées d’arbres en Bohème du Sud (République tchèque) réalisé par Jan Pokorny (Tchéquie) et Urška Ratajc (Slovénie).
Le compte-rendu des Rencontres « Eau Planète et Peuples » qui se sont tenues en décembre 2015, en même temps que la COP21, est disponible : vous pouvez le télécharger ici.
Action citoyenne contre une fuite de pétrole en février 2016 dans la rivière Marañon, l’un des affluents du fleuve Amazone, en Amazonie péruvienne. Artistes et activistes se rejoignent avec leurs corps nus pour représenter les animaux mis en péril.
Mettre fin à un modèle d’agriculture industrielle qui pollue et coûte cher à notre société. Le Commissariat général au Développement durable, qui dépend du ministère de l’Écologie, a publié en décembre 2015 une étude intitulée : « Les pollutions par les engrais azotés et les produits phytosanitaires : coûts et solutions ». Ce travail lève le voile sur les pollutions engendrées, mais aussi les dépenses induites et bien souvent cachées de cette politique basée sur l’industrialisation de l’agriculture.
L’accord de Paris a conclu la conférence internationale pour le climat (COP21). Son objectif à long terme est louable: maintenir le réchauffement climatique en deçà de 2°C, voire de 1,5°C. Mais selon la Coordination SUD (pour solidarité urgence développement, qui regroupe les ONG françaises de solidarité internationale), les mécanismes proposés pour y parvenir semblent bien faibles; ils reposent sur la base du volontariat pour la plupart. L’accord ne permet pas de rattraper significativement et rapidement l’écart avec la trajectoire de +3,5°C qui se dessine avec les contributions nationales actuelles et qui ne seront pas revues avant 2023. LIRE ICI. De bonnes intentions sans moyens d’action: rien de gagné donc pour le moment.
La France a été mise en demeure par l’Union européenne d’ouvrir les concessions hydro-électriques à la concurrence, et d’exclure des appels d’offres EDF, qui en assure majoritairement la gestion. Cette privatisation pose la question de l’avenir des barrages qui fournissent 12% de l’électricité produite en France. En cas de concessionnaires privés, les investissements en matière d’entretien et de sûreté de ces sites sensibles seront-ils assurés ? Le prix de cette énergie renouvelable va-t-il augmenter ? Comment seront associés les élus locaux et les habitants concernés aux décisions ?
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…