C’était une demande de notre association. Le Conseil de territoire d’Est Ensemble a adopté mardi 28 mai une délibération permettant aux communes d’organiser une votation citoyenne sur le mode de gestion de l’eau. Cette consultation du public constitue un événement majeur qu’il faut réussir dans un laps de temps très court. Une grande mobilisation pourra donner l’impulsion nécessaire au passage en régie et éviter tout retour en arrière au SEDIF. D’ores et déjà, les villes de Bagnolet, des Lilas, de Montreuil et de Bondy se sont engagées à donner la parole aux habitant-es.
Entretien avec Célia Blauel, adjointe à la maire de Paris en charge de la transition écologique, du climat et de l’environnement. La présidente d’Eau de Paris, qui participe aux Assises de l’eau, dresse le bilan des 10 ans de la régie. Le 02 avril 2019 par Stéphanie Senet
Bien commun par excellence, l’eau potable fait partie des services territoriaux soumis à de profondes mutations. Remunicipalisation, transferts de compétences, bouleversements climatiques et technologiques : des lames de fond modifient les métiers, la gestion et l’organisation des services. Par Juliette Fournier. Publié le 25/03/2019 dans Technicités -la Gazette des communes.
Ivry, mardi 27 mars. Suite à la présentation le matin même de l’étude de Collectivités conseil au comité de pilotage eau du territoire GrandOrly-Seine-Bièvre, un compte-rendu à chaud a été effectué par Jacques Perreux, président du groupe écologistes et citoyens, en présence de Christian Métairie, maire d’Arcueil, de Fatah Aggoune, président du groupe Front de gauche, d’André Deluchat, président du groupe La France Insoumise et de Jean-François Banbuck, premier adjoint du Kremlin-Bicêtre … et de nombreux citoyens! Voir aussi l’article de 94citoyens.com
L’association Agleau l’a dénoncé : Véolia transforme les eaux usées en or. Le Parisien a repris l’affaire : Veolia reconnaît un taux de rentabilité de 17% en 2017 et de 11% en moyenne sur les cinq dernières années. C’est déjà considérable mais en réalité le taux de bénéfices est bien de 40% en 2017 et de 22% sur les 5 dernières années de 2013 à 2017, maintient l’association. Visiblement, cela n’émeut pas beaucoup le Président de la Communauté d’agglomération: « Cette DSP remonte à 1994, explique-t-il. En 2003 j’avais fait un nouvel avenant car on s’était rendu compte qu’il y avait des taux de bénéfices très importants. Rompre le contrat aurait coûté trop cher alors nous avons négocié des taux de rentabilité compris entre 5,16 et 5,26 %. Manifestement ils sont au-dessus. »
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…