Le SEDIF bousculé par le modèle public

La Syndicat des eaux d’Île-de-France est bousculé par les nouvelles régies publiques de l’eau qui nouent des partenariats public-public avec Eau de Paris. La déconnexion des réseaux va coûter cher aux usagers, dit-on du côté du SEDIF, en oubliant que celle-ci est uniquement demandée par le même SEDIF dans la perspective de la mise en place de l’osmose inverse basse pression … Hélène de Comarmond, Maire de Cachan, souligne : « nous voulions retrouver notre liberté de gestion de l’eau potable, mais notre approvisionnement était réalisé à partir de l’usine du SEDIF de Choisy-le-Roi, ce qui alimentait une sorte de dépendance au SEDIF. Aujourd’hui avec Eau de Paris, nous prenons un autre chemin dans la gestion de la ressource et sa distribution. » Revue de presse avec les articles de 94citoyens.com, La Tribune et le Journal du Grand Paris.

Géopolitique de l’eau en Ile-de-France : le modèle Eau de Paris étend son influence

Géopolitique de l’eau en Ile-de-France : le modèle Eau de Paris étend son influence

Plutôt que du Champagne, de l’eau claire en carafe. C’est ainsi qu’Eau de Paris, l’établissement public en charge de la production et distribution de l’eau dans la capitale, a arrosé son contrat avec de nouvelles régies publiques ce jeudi 20 mars. L’enjeu : l’approvisionnement en eau, mais, aussi, une approche écologique et de gouvernance qui se positionne en alternative, notamment, à celle du Sedif, le syndicat intercommunal qui fait boire un tiers des habitants de la région. Explications et rappel du contexte.

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Val-de-Marne : la régie Eau Seine Bièvre sécurise le prix de l’eau potable à l’horizon 2030

Val-de-Marne : la régie Eau Seine Bièvre sécurise le prix de l’eau potable à l’horizon 2030

En Val-de-Marne, la régie publique de l’eau Eau Seine Bièvre, qui regroupe une dizaine de communes de l’intercommunalité Grand-Orly Seine Bièvre, s’approvisionnera auprès de Eau de Paris à partir de 2030, sortant définitivement du giron du Syndicat des eaux d’Ile-de-France (Sedif). Même si cela n’est qu’un des motifs, la sécurisation du prix de l’eau a constitué un argument de poids. Les chiffres.

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La gestion de l’eau devient un objet politique en Île-de-France

A la veille de la Journée mondiale de l’eau, les régies publiques Eau de Paris, Eau Seine & Bièvre et RESO viennent de signer des partenariats en matière de R&D et d’approvisionnement. Un choix idéologique à 40 millions d’euros, réagit le Syndicat des eaux d’Île-de-France (SEDIF).

Et si l’eau venait à manquer dans la région-capitale ? L’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) a publié, lundi dernier, une étude intitulée Adapter l’Île-de-France aux risques de raréfaction de l’eau. Et à y regarder de plus près, un épisode de sécheresse majeur dans le Grand Paris pourrait « gravement perturber » les activités, engendrant des coûts économiques pouvant atteindre 2,5 milliards d’euros.

Une estimation qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. À deux jours de la Journée mondiale de l’eau, les régies Eau de Paris, Eau Seine & Bièvre et RESO viennent de signer, ce jeudi, « des partenariats majeurs visant à renforcer leur coopération dans les domaines de la recherche-développement et de l’approvisionnement en eau potable ».

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Les régies Eau de Paris, Reso et Eau de Seine & Bièvre renforcent leur partenariat

Les trois régies publiques ont signé, jeudi 20 mars 2025, un partenariat visant à renforcer leur coopération dans les domaines de la recherche-développement et de l’approvisionnement en eau potable.

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