Prem Sikka, professeur émérite de comptabilité à l’Université d’Essex et à l’Université de Sheffield, membre travailliste de la Chambre des Lords et rédacteur en chef de Left Foot Forward, analyse comme une reprivatisation les mesures gouvernementales spéciales visant à renflouer les entreprises privées de l’eau en quasi-faillite. Au final, les usagers de l’eau et les contribuables vont encore devoir payer. Il dénonce la vrai fausse régulation à l’œuvre dans le secteur de l’eau.
Comment Thames Water est-elle passée du statut de chouchou des fondamentalistes du marché à celui de catastrophe financière qui a coûté un milliard de dollars aux retraités canadiens de l’Ontario?John Cartwright, président du Conseil des Canadiens et Maude Barlow, ancienne présidente du Conseil et ancienne conseillère principale des Nations Unies sur l’eau, tirent les leçons d’une catastrophe pourtant prévisible, dans le Toronto Star.
Une tribune de Philippe Rio, Maire de Grigny et Vice-Président de Grand Paris Sud en charge du cycle de l’eau et de la transition énergétique, publiée le 28 juillet.
Socialisation des pertes et privatisation des bénéfices, un grand classique de l’économie capitaliste. Une éventuelle nationalisation de Thames Water, la plus grande compagnie des eaux de Grande-Bretagne se trouvant actuellement en mauvaise posture financière, est à l’étude, selon plusieurs médias britanniques. Par RTBF. Et lien vers un article de Médiapart (abonné.e.s)
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…