Le Syndicat des eaux d’Île-de-France (SEDIF) veut utiliser une nouvelle technologie, l’osmose inverse basse pression (OIBP), pour obtenir « une eau pure ». Au delà de l’argument publicitaire, quelles sont les conséquences pour l’environnement et pour la facture des usagers ? Ceux-ci peuvent-ils avoir leur mot à dire ? Intervention d’Edith Félix, Co-présidente de la Coordination EAU Ile-de-France, lors de la soirée de l’Université populaire de l’eau et du développement durable du Val de Marne, le 22 mars dernier (à retrouver en intégralité ici). En bonus: avis de la MRAé au sujet de l’usine d’Arvigny à télécharger; osmose et osmose inverse, kezako?
Pour faire baisser les factures autour de Chelles et Torcy, ce collectif citoyen demande lundi 22 mars que l’eau soit gérée à nouveau par le public et non plus par le privé. Par Louis Gohin publié le
Alors que le 22 mars prochain aura lieu la journée mondiale de l’eau, l’Ile-de-France est à la croisée des chemins entre un modèle de gestion publique de l’eau et un puissant mouvement de fond pour la financiarisation de ce nouvel or bleu. Une tribune de Philippe Rio, Maire de Grigny et Vice-président deGrand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart en charge du développement durable, du cycle de l’eau, de la biodiversité et de la production d’énergie, publiée dans Le Monde.
Depuis le 1er janvier 2021, 7 des 9 communes d’Est Ensemble (Seine-Saint-Denis) et 9 des 24 villes qui constituent Grand-Orly Seine Bièvre (Val-de-Marne/Essonne) ne font plus partie du Syndicat des eaux d’Ile-de-France (Sedif). Mais les modalités de leur approvisionnement en eau ne devraient changer qu’à partir de 2024. La bataille de l’eau vue par le journal du Grand Paris du 12 mars 2021.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…