Le préfet de Seine-et-Marne n’a pas accordé l’autorisation environnementale au déploiement de l’Osmose Inverse Basse Pression (OIBP) dans le site pilote d’Arvigny situé à Savigny-le-Temple (Seine et Marne). Le Syndicat des Eaux d’Île-de-France (SEDIF) « regrette l’impact qu’elle aura sur le déroulement des travaux de l’usine pilote ».
La préfecture de Seine-et-Marne a refusé l’autorisation environnementale nécessaire au syndicat des eaux d’Ile-de-France (Sedif) pour lancer son projet d’osmose inverse basse pression sur son usine d’eau potable de Savigny-le-Temple. Une décision saluée par les nombreux opposants. Par Sylvie Luneau.
Le SEDIF veut équiper ses unités de production d’un procédé de pointe qui produit une eau très pure. Au prix d’un renchérissement de son coût et d’un impact sur l’environnement, qui inquiètent les élus locaux. Par Martine Valo.
C’est une victoire d’étape pour la démocratie locale et pour l’environnement. Lire ci-dessous le communiqué de la Coordination EAU Île-de-France et télécharger celui des élu.e.s.
Le préfet de Seine-et-Marne n’a pas accordé l’autorisation environnementale nécessaire au projet du Syndicat des eaux d’Île-de-France, qui comptait utiliser une technologie révolutionnaire qui doit coûter 800 millions d’euros, mais très critiquée. Le projet pilote qui devait démarrer à Savigny-le-Temple, apparaît très compromis. Le SEDIF se veut optimiste. Par Olivier Debruyne.
Venu des luttes pour l’eau comme pour le bien commun et les droits humains, Rodrigo Mundaca a été élu, au mois de mai dernier, gouverneur de la région de Valparaiso, sous les couleurs d’une gauche décidée à rompre avec les logiques néolibérales. Entretien avec Rosa Moussaoui, publié le 16 décembre 2021.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…