Le réseau européen d’action contre les pesticides (dont fait partie l’ONG française Générations futures) a mis en évidence la présence massive dans les cours d’eau européen du TFA, un PFAS à chaîne courte, probablement issu des pesticides. Ce PFAS se retrouve aussi dans l’eau du robinet comme dans les eaux en bouteilles. Constats et pistes d’action au travers de nombreux articles publiés récemment.
Les résultats des prélèvements effectués chaque deux semaines par Surfrider montrent que la qualité de l’eau de la Seine est toujours mauvaise. Lire l’article de RTL. Voir les résultats de Surfrider. Voir l’interview de Jean-Claude Oliva sur France bleu Paris.
Alors que la pollution liée aux pesticides augmente et que les sécheresses sont récurrentes, des collectivités organisatrices du service public de l’eau plaident, dans une tribune au « Monde », pour la sanctuarisation des aires d’alimentation de captages et pour une transition agroécologique.
Dans un éditorial, Le Monde dresse le constat de l’étendue des menaces qui pèsent l’eau et de l’absence de réaction politique et pire, d’un véritable déni de la part du gouvernement. Mais d’où vient une telle irresponsabilité politique? Nous avons notre petite idée sur la question…
Au lendemain du vote à l’unanimité d’une loi limitant l’utilisation des PFAS, ces « polluants éternels », que sait-on de ces substances et de l’étendue de la contamination dans la population française ? Où sont les territoires en France les plus touchés ? Par Bernard Mallen.
Dans une note de l’Anses transmise au gouvernement en octobre dernier, que France info dévoile, des experts évoquent un « niveau de confiance insuffisant » pour assurer « la qualité sanitaire des produits finis ».
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…