C’est le beau titre de l’émission la lutte enchantée pour rendre hommage à notre camarade Renée-Lise Rothiot qui a choisi de s’en aller en ce début d’année 2025. Nous pensons à elle que nous avons accueillie à Paris pour le lancement de la Coalition stop embouteillage en mars 2024 et que nous avons retrouvée ensuite au village de l’eau à Melle en juillet. Toute notre solidarité avec le Collectif Eau 88.
Renée-Lise Rothiot avec Rajendra Singh, au village de l’eau à Melle en juillet 2024. Photo Vincent Delbos.
L’ONG Foodwatch a déposé mercredi 25 septembre deux nouvelles plaintes pour « tromperie » auprès du tribunal judiciaire de Paris : l’une contre l’entreprise Alma, l’autre contre le groupe Nestlé. La multinationale suisse avait pourtant scellé il y a quelques jours un accord avec la justice censée éteindre les procédures judiciaires en cours. Par Marie Dupin de Radio France.
Antoine Chao (C’est bientôt demain) était à Dieuze en Moselle avec l’association EAU SECOURS SAULNOIS, la coordination Stop embouteillage et la Coordination EAU Île-de-France pour la journée mondiale de l’eau, il y était question de la privatisation de nos ressources aquifères accaparées par les multinationales de l’eau.
Dans une note de l’Anses transmise au gouvernement en octobre dernier, que France info dévoile, des experts évoquent un « niveau de confiance insuffisant » pour assurer « la qualité sanitaire des produits finis ».
Cet hiver, Veolia est mandaté par Danone pour excaver les déchets d’une immense décharge à Volvic où les plastiques étaient entassés sur une épaisseur d’une dizaine de mètres. Vendredi 22 Mars 2024, pour la journée mondiale de l’eau, la coalition STOP EMBOUTEILLAGE se rend sur le site avec le collectif VOLVIC NOUS POMPE pour découvrir l’ampleur des dégâts. Le résultat est sans appel : Danone, qui se positionne en défenseur de l’environnement n’a fait qu’enlever le gros des déchets les plus visibles et gênants. En réalité, il reste encore des déchets de toute taille et les remblais sont plein de micro-déchets. Voir la vidéo et l’article de Reporterre.
Après la révélation de la présence massive de particules de plastiques dans l’eau des bouteilles (lire ici), est mise à jour une vaste tromperie qui touche au moins 30% des marques vendues en France. Les pollutions ne permettent plus que ces eaux soient commercialisées sans traitement, elles ne peuvent donc plus prétendre au label eau minérale naturelle ou eau de source. Une réalité cachée depuis des années par les pouvoirs publics sensés protéger les consommateurs. L’association de consommateurs Foodwatch et plusieurs parlementaires montent au créneau.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…