La Collectivité Eau du Bassin Rennais prend en charge la compétence eau, du captage au robinet, pour 75 communes du Bassin Rennais. Dix ans après la création de cette structure, la gestion de l’eau est devenue totalement publique et le bilan est concluant : prix maîtrisé, compétence et technicité renforcées, proximité et lisibilité vis-à-vis des usagers, rendement optimisé des réseaux et capacité prospective nouvelle. Par Claire Lelong
Collecter l’urine pour produire de l’engrais permet de réduire la consommation d’eau (potable) et la pollution des cours d’eau causée par les stations d’épuration des eaux usées. Comment cela peut-il s’organiser en Île-de-France? Article de citoyens.com et note de l’Institut Paris Région. Continuer la lecture de La ruée vers l’urine→
Nuisances, risques environnementaux… Alors que le site de Seine Aval du Siaap autour d’Achères est classé Seveso « seuil haut », une association d’habitants des Yvelines, le CAPUI, appelle à informer davantage les riverains et à mettre en place une meilleure prévention des risques. Par Pierre de Baudoin.
Juste avant de partir, le gouvernement Bayrou a publié un arrêté sur les PFAS dans les eaux usées et un premier décret sur la loi PFAS adoptée en février. Les deux montrent le renoncement à toute action significative pour protéger la population et un mépris total de l’avis du public. L’application de la redevance sur les émissions de PFAS est reportée. Lire les explications détaillées de Générations futures.
En dix jours, une pétition contre la loi Duplomb, lancée par une étudiante, a atteint un million de signatures, un record! C’est le révélateur de la colère populaire face à la régression sanitaire et environnementale, portée par cette loi et en cours d’une façon plus générale. Une colère qui vient de loin et qui porte loin.
Les PFAS, ces substances per- et polyfluoroalkylées, souvent surnommées les « polluants éternels », représentent un défi environnemental majeur en raison de leur persistance et de leur toxicité. Aujourd’hui, outre mieux réguler leur utilisation, il faut de meilleures pistes pour traiter ces polluants, c’est-à-dire d’abord les extraire de l’environnement, puis les détruire. Un véritable défi puisque ces molécules sont à la fois très variées et très résistantes – ce qui fait leur succès Par Julie Mendret, Université de Montpellier et Mathieu Gautier, INSA Lyon – Université de Lyon.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…