Les rivières disparaissent-elles de la carte ? Leur cartographie en cours dévoile des conceptions de la nature guidées par des objectifs opposés : protection des milieux aquatiques et de la santé publique contre exploitation agricole intensive. Publié en juillet 2020 dans la revue métropolitiques par Kévin de la Croix, Marie-Anne Germaine et Nicolas Verhaeghe, c’est le premier article scientifique à aborder ce sujet.
La communauté d’agglomération Grand Paris Sud, aux confins de l’Essonne et de la Seine et Marne, vient de signer un protocole d’accord avec la régie publique Eau de Paris pour la fourniture d’eau potable en gros. Il s’agit de de maîtriser et diversifier ses sources d’approvisionnement avec pour objectif d’en encadrer l’impact tarifaire et les investissements associés. Article publié par Grand Paris Sud.
Près de Sens, des nappes phréatiques alimentent en partie la ville de Paris en eau potable. Pour améliorer sa qualité, les agriculteurs qui produisent sur ces zones de captages, sont incités à réduire l’utilisation de pesticides. 130 agriculteurs s’engagent à réduire leur usage de pesticides. Un reportage de France Info.
Les habitant-es d’Est Ensemble qui paient plus cher une eau de moindre qualité fournie par le SEDIF (Veolia) aimeraient eux-aussi être approvisionné-es en eau par Eau de Paris.
Cet été plusieurs chantiers internationaux seront organisés par la Coordination EAU Île-de-France et ses partenaires européens, à Kosice en Slovaquie, à Toussacq en Seine et Marne et à Bagnolet en Seine Saint-Denis. Il s’agit d’apprendre à construire de petites installations, jardin de pluie et barrages en bois, pour favoriser l’infiltration et l’évaporation et lutter contre le réchauffement climatique.
Le Mercredi 12 décembre 2018, la Municipalité a proposé une réunion d’information destinée aux habitants du village. Cette réunion, co-animée par le Maire de Jutigny, Fabrice Génon, et le Président du SIAEPPEM[1], Bruno Corbisier, a été l’occasion pour notre collectif d’habitants de participer à un débat public à propos de l’eau potable et surtout à propos des énormes travaux prévus dans le cadre du TransprEauvinois, et de sa fusion avec le Syndicat de l’Eau Est-Seine et Marne (dit S2E77), qui réunira à terme 100 à 150 communes.
C’est pour le moment, à notre connaissance, le seul débat de ce type proposé par une mairie concernée par la fusion au sein du TransprEauvinois. Il a soulevé des questions qui nous concernent tous.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…