Aucun autre pays n’a copié ce modèle entièrement privatisé de distribution de l’eau. L’analyse de Kate Bayliss, associée de recherche au département d’économie de l’Université Soas de Londres.
Pour approvisionner son usine voisine, premier site européen de transformation de gypse en plâtre, Placoplatre souhaite exploiter une carrière à ciel ouvert sur le site du Fort de Vaujours, en Seine-Saint-Denis. L’Autorité environnementale invite à réfléchir aux alternatives. Une enquête publique est ouverte depuis le 14 novembre jusqu’au 23 décembre. Un article publié par 93citoyens.com
A l’occasion du colloque de FNE-IDF consacré à la ressource en eau face au changement climatique, la Coordination EAU Île-de-France a rendu publics deux posters détaillant les enjeux de l’osmose inverse basse pression (OIBP) avec l’intervention graphique d’Arnaud Corbin. Vous pouvez les découvrir ci-dessous ; ils sont à présent disponibles pour d’autres événements, qu’on se le dise! Un tract recto-verso est également à votre disposition, à découvrir également ci-dessous. N’hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez les diffuser à : coordination@eau-iledefrance.fr
Alain Ramos, conseiller municipal du Blanc-Mesnil (93), détaille la déliquescence de la gestion de l’eau dans sa ville, longtemps confiée à la Saur, puis à la Nantaise des eaux avant de tomber dans l’escarcelle de Suez. La ville du Blanc-Mesnil est une exception en région parisienne car elle puise l’eau dans son propre sous-sol, un avantage dont les habitant.e.s ne profitent visiblement pas.
Les usagers domestiques vont payer cher la mise en place de l’osmose inverse basse pression (OIBP). Alors que le projet n’existe que sur le papier et qu’il ne verra peut-être jamais le jour, ses conséquences économiques se manifestent déjà. Lors de son dernier comité syndical, le 13 octobre, le SEDIF a voté une forte hausse des tarifs pour le 1er janvier 2023 : 21,5% pour la part qui lui revient dans la facture d’eau, 5,5% pour Veolia, soit au total +10,5 % pour la part eau de la facture qui passe ainsi de 1,33€/m3 à 1,47€/m3, pour une consommation annuelle de 120m3*. Voici un drôle de « service public » qui enfonce les usagers au lieu de les protéger en temps de crise.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…