Un projet d’eau potable sans chlore ni micropolluants est au cœur d’un débat public. Pour ses opposants, le projet compromet la lutte contre les pollutions dès leur origine. Par Erwan Manac’h
À l’initiative de Clémence Guetté, députée du Val-de-Marne, LFI lance une campagne “Eau potable en Île-de-France : non à la privatisation ! À nous de choisir !”. Ci-dessous le tract de cette campagne.
Du 20 avril au 20 juillet, un débat public nommé “eau potable en Ile-de-France” est mené sous l’égide de la Commission Nationale du Débat Public. Le sujet du débat public concerne précisément le projet du Syndicat des Eaux d’Île-de-France (SEDIF) de généraliser le procédé d’Osmose Inverse Basse Pression (ou encore filtration membranaire haute performance) dans ses usines de potabilisation en Ile-de-France.
Les nouvelles big bosses de Veolia et Suez, réconciliées pour restaurer leur commune emprise sur nos services publics locaux, s’étaient lancé fin 2022 un pari audacieux, mais jouable. Par Pascal Grandjeat.
Le 10 mai, le conseil d’administration de la régie publique de l’eau d’Est Ensemble s’est réuni pour voter son premier budget. Voici les propos introductifs de son président, Jean-Claude Oliva.
La généralisation du procédé d’osmose inverse basse pression (OIBP) que tente d’imposer le SEDIF, marque le renoncement à toute volonté sérieuse de s’attaquer à la pollution généralisée de l’eau (et de l’environnement). C’est un permis de polluer. Une réflexion pour le débat public qui s’est ouvert sur l’OIBP (voir ici).
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…