Le conseil d’exploitation de la Régie de Grand Paris Sud (GPS) unanime appuie le Syndicat Eau du Sud francilien (SESF) dans son combat face aux actionnaires de la multinationale. Une déclaration et une note explicative, préparées en commun par des représentants des collèges élus et usagers ont été votées à l’unanimité moins une abstention ( lire à la suite de l’article). Par l’Association Eau Publique Orge Essonne.
Un vote historique commun des élus et usagers pour la maitrise publique de l’eau, ça s’arrose!
Appel au rassemblement le 15 juin 2024 à 11h devant la mairie de Nonville (77) pour stopper les forages pétroliers en Île-de-France et protéger les captages.
La consommation d’eau potable a connu une baisse inédite de 3 à 4 % en 2023, bien supérieure au recul moyen annuel de 0,5 % à 1 % observé depuis vingt ans, selon une enquête flash menée par la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR) publiée mercredi 29 mai. D’après Reporterre.
Alors que la pollution liée aux pesticides augmente et que les sécheresses sont récurrentes, des collectivités organisatrices du service public de l’eau plaident, dans une tribune au « Monde », pour la sanctuarisation des aires d’alimentation de captages et pour une transition agroécologique.
Le 29 avril 2024, à l’Université d’Evry, les élus du Syndicat Eau du Sud Francilien ont annoncé saisir la Haute autorité de la concurrence à l’encontre de Suez et de Meridiam et un recours au tribunal pour que les usines de production d’eau potable reviennent aux collectivités comme biens de retour (Lire l’article Eau du Sud Francilien saisit la Haute autorité de la concurrence). Analyse de cette nouvelle situation avec Jacky Bortoli, Conseiller communautaire délégué en charge du cycle de l’eau de Grand Paris Sud. Extraits vidéos de la soirée du 29 avril. Lire aussi différents documents qui ont jalonné l’action depuis un an, un article des Echos et l’avis du Conseil d’Etat sur les biens de retour.
Avec les nouvelles révélations du Monde et de France Info, nous avons appris hier que la qualité sanitaire des eaux du géant suisse Nestlé n’était pas garantie. Cette information ahurissante complète celles de janvier dernier, quand la presse révélait que certaines eaux en bouteille, coûteuses, réputées « naturelles », faisaient l’objet de traitements ou de mélanges interdits et dissimulés. Face à ces scandales à répétition, je voudrais rappeler ici qu’à Paris, la seule eau véritablement économique, écologique et engagée dans une vraie démarche de transparence c’est l’eau du robinet. Une tribune de Dan Lert, Adjoint à la Maire de Paris chargé de la transition écologique, du Plan climat, de l’eau et de l’énergie, et Président d’Eau de Paris.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…