Les changements de compteurs sont une cause fréquente de surfacturation et de litiges avec les distributeurs privés. En voici un nouvel exemple en Seine et Marne.
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Les changements de compteurs sont une cause fréquente de surfacturation et de litiges avec les distributeurs privés. En voici un nouvel exemple en Seine et Marne.
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La députée (LFI-NUPES) Ersilia Soudais a posé une question écrite au ministre de la transition écologique concernant les conséquences des dépôts de déchets de la Société du Grand Paris en terme de pollution des eaux et des sols en Seine et Marne.
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L’Association de Défense de l’ENvironnement de Claye-Souilly et ses Alentours (ADENCA) alerte sur les risques que des déchets des chantiers du Grand Paris, pouvant contenir de la pyrite, font courir sur le plus important captage d’eau de Seine et Marne, celui de l’usine de Veolia d’Annet-sur Marne.
Pour tenter de mieux maîtriser les coûts et ne plus dépendre des géants de l’eau, de plus en plus de communautés de communes reviennent à des régies publiques. En Essonne, quatre d’entre elles se sont lancées dans un bras de fer avec Suez. Elles ont décidé d’imposer un prix d’achat à 45 centimes, contre les 69 demandés par le groupe. Par Aurélie Foulon.
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Dans certains territoires franciliens, la captation ou la production d’eau potable sont aux mains d’industriels privés. Une situation qui interpelle de plus en plus les intercommunalités. Par Catherine Bernard et Raphaël Richard.
Après l’abandon du projet pilote d’Arvigny, le SEDIF tente de relancer l’eau osmosée par une campagne médiatique (lire ci-dessous les articles de 20 minutes et du Parisien). Les montants des investissements sont toujours effarants (400 millions d’euros par usine, soit plus d’un milliard d’euros pour trois usines, selon 20 minutes) et une hausse des tarifs de 20 centimes par m3 est annoncée pour les usager.e.s. Le choix de commencer par l’usine de Méry-sur-Oise montre que le projet ne répond à aucune utilité pour la qualité de l’eau des usager.e.s. Car Méry-sur-Oise dispose déjà d’une technique plus sophistiquée (la nanofiltration) que les autres usines du SEDIF. S’il y avait un impératif à améliorer la qualité de l’eau, il aurait fallu commencer par les autres usines (Choisy-le-Roi et Neuilly-sur-Marne) moins performantes. Le durcissement des normes sur les micropolluants annoncé par André Santini est un fake : la directive européenne eau potable en décembre 2020 ne prévoit rien de tel. La seule motivation de l’eau osmosée est inavouable : maintenir au plus haut niveau la rente de Veolia.
Mais on ne nous dit pas tout! Citée dans l’article de 20 minutes, Anne-Laure Colon qui était cheffe du service études de faisabilité et filières haute performance, en charge du dossier technique de l’eau osmosée depuis 2016, a quitté le SEDIF. Qui croit encore à l’OIBP?
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