Le déploiement de la technologie d’osmose inverse basse pression, porté par le Syndicat des eaux d’Ile-de-France (SEDIF), continue à susciter de vives oppositions autour de l’installation de ce dispositif dans l’usine d’Arvigny, à Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne). Philippe RIO, vice-président de Grand Paris Sud et maire de Grigny (récemment désigné meilleur maire du monde par la City Mayors Foundation à Londres), a adressé un courrier au préfet suite à l’enquête publique. Au nom de l’intérêt général, il demande à l’Etat de s’opposer à la réalisation de ce projet.
Le déploiement de la technologie d’osmose inverse basse pression, qui doit permettre de retirer le calcaire et le chlore de l’eau, porté par le Syndicat des eaux d’Ile-de-France (Sedif), fait émerger des inquiétudes à l’occasion de l’enquête publique autour de l’installation de ce dispositif dans l’usine d’Arvigny, à Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne).
Alors que les élus du Sedif doivent décider le 27 mai du système de gestion qui fera suite à la concession qui s’achève fin 2023, la commission d’enquête de l’Assemblée nationale relative à la mainmise sur la ressource en eau par les intérêts privés auditionnait, le 12 mai 2021, différents élus franciliens sur leur vision, parfois très critique, du syndicat. Publié lundi 17 mai.
Neuf maires de l’EPT 12 (Grand Orly Seine Bièvre) exigent les conditions d’un débat démocratique sur la gestion de la distribution de l’eau potable, ressource indispensable à l’avenir des habitant.e.s et des générations futures.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…