C’est une victoire d’étape pour la démocratie locale et pour l’environnement. Lire ci-dessous le communiqué de la Coordination EAU Île-de-France et télécharger celui des élu.e.s.
Le préfet de Seine-et-Marne n’a pas accordé l’autorisation environnementale nécessaire au projet du Syndicat des eaux d’Île-de-France, qui comptait utiliser une technologie révolutionnaire qui doit coûter 800 millions d’euros, mais très critiquée. Le projet pilote qui devait démarrer à Savigny-le-Temple, apparaît très compromis. Le SEDIF se veut optimiste. Par Olivier Debruyne.
André Santini (UDI), patron du syndicat des eaux d’Ile-de-France, répond aux accusations qui visent son projet de traitement de l’eau du robinet pour la rendre sans chlore et sans calcaire, jugé trop coûteux et pas nécessaire. Par Olivier Debruyne, dans le Parisien du 17 décembre.
Nos commentaires sont en gras dans l’article ci-dessous.
Le conseil communautaire de Grand Paris Sud a voté à l’unanimité le 14 décembre une motion refusant l’implantation d’une unité de traitement de l’eau par OIBP à l’usine d’Arvigny et soutenant une campagne de mobilisation à l’échelle régionale.
Olivier Faure, secrétaire national du PS et député de la circonscription, envisage d’alerter la population à propos du projet du Sedif, qui « va impacter notre génération et les suivantes ». Par Florian Loisy.
Appuyé par Veolia, le Syndicat des eaux d’Île-de-France (Sedif) envisage d’installer une nouvelle technologie dans ses usines censée débarrasser l’eau du robinet du chlore et du calcaire. Mais ce procédé, particulièrement coûteux, est dénoncé par des élus locaux et des défenseurs de l’environnement. Une grande enquête de Florian Loisy.
un réseau qui réunit citoyens et associations autour de la ressource en eau en Île-de-France et sur tout le territoire français, sur tous les aspects: social, environnemental, économique, juridique, de la santé, culturel…