Dans certains territoires franciliens, la captation ou la production d’eau potable sont aux mains d’industriels privés. Une situation qui interpelle de plus en plus les intercommunalités. Par Catherine Bernard et Raphaël Richard.

Dans certains territoires franciliens, la captation ou la production d’eau potable sont aux mains d’industriels privés. Une situation qui interpelle de plus en plus les intercommunalités. Par Catherine Bernard et Raphaël Richard.

Imaginons que vous soyez ministre de l’Écologie. Quelles sont les trois premières mesures que vous proposeriez à la nouvelle Assemblée nationale? Interrogée par Reporterre, Mathide Panot, députée LFI du Val de Marne, commence par évoquer le droit à l’eau…

Un tronçon de 600 mètres de la rivière Bièvre à ciel ouvert a été inauguré ce jeudi matin, entre Arcueil et Gentilly. Les berges ont été aménagées pour la promenade. Articles de Sarah Tuchscherer, France Bleu Paris et de Marie Delumeau dans Les Echos.

Appuyé par Veolia, le Syndicat des eaux d’Île-de-France (Sedif) envisage d’installer une nouvelle technologie dans ses usines censée débarrasser l’eau du robinet du chlore et du calcaire. Mais ce procédé, particulièrement coûteux, est dénoncé par des élus locaux et des défenseurs de l’environnement. Une grande enquête de Florian Loisy.

Environ 15 000 votes dont 94% pour, tel est le bilan de la votation citoyenne organisée durant trois semaines par les 9 communes (sur 18) du territoire Grand Orly Seine Bièvre (GOSB) qui souhaitent créer leur propre régie publique de l’eau, auprès de leurs 325 000 habitants.
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Le Syndicat des eaux d’Île-de-France (Sedif), qui regroupe 135 communes de banlieue parisienne, prévoit de moderniser ses usines de traitement pour délivrer une eau « pure, sans calcaire et sans chlore » à plus de 4 millions de Franciliens. Pour cela, il compte investir près d’un milliard d’euros dans une technologie très critiquée par d’autres collectivités, qui y voient une fuite en avant ruineuse et anti-écologique. Par Matthieu Jublin.
